Olivier Gosse, comédien, est intervenu dans les classes le 5, 6, 8 et 9 juin de :

• Yainville (4 classes)
• St Marguerite sur Duclair (8 classes)
• Epinay sur Duclair (3 classes)
• St Paër (5 classes)
• St Pierre de Varengeville primaire (6 classes)

C’est un dispositif qui est proposé par le comité de littérature 76 (dans le cadre du printemps des poètes) https://eac76.spip.ac-rouen.fr/spip.php?rubrique25

La BIP (Brigade d’Intervention Poétique) consiste en un passage quotidien de 5 à 7 minutes dans chaque classe par Olivier Gosse, habillé en orange, accompagné de sa guitare le jeudi.

Olivier joue chaque jour un programme différent de poèmes (adaptés aux niveaux : C1, C2, C3), puis laisse à la classe l’enveloppe contenant les poèmes.
Les professeurs ont ménagé la surprise auprès de leurs élèves : ils n’ont pas annoncé la venue d’Olivier.
Le dernier jour, M Gosse ménage un temps d’échange avec les élèves pour répondre à leurs questions…
M Gosse a laissé un CD à chaque école avec les poèmes chantés et a envoyé tous les poèmes par courriel.

Voici quelques questions/impressions des élèves :

• « Tu les apprends vite tes poèmes ? » (Élève de cycle 3)
  Réponse d’Olivier : « Je me donne du temps, je lis le texte plusieurs fois, je me repère dans celui-ci, j’apprends à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit…plus on apprend par cœur, plus c’est facile ! Et quand je déclame un poème : je parle, je bouge, j’imite, je joue, chaque poème est une mini-pièce de théâtre ! »
• « Est-ce que ça t’arrive de te tromper ? »
  « Oui, ça arrive, mais je me rattrape ! »
• « Est-ce que tu écris tes poèmes ? »
  « Oui, certains comme ceux du CD, et plus on le fait, plus c’est facile ! »
• « Pourquoi es-tu habillé en orange ? »
  « C’est pour être surprenant, et être remarqué par exemple quand je déclame mes poèmes sur un marché, dans la rue… »
• « C’est quoi ton métier ? »
  « Je suis un comédien du spectacle vivant (et non un acteur de cinéma), je fais partie d’une compagnie de théâtre »
• « Est-ce que c’est ta passion ? »
  « Oui, mais c’est un métier, sérieux pour gagner ma vie. »